Défense, diplomatie, crises, pouvoirs
(B2) Plans de défense, dissuasion face à la Russie, soutien à l’Ukraine et coopération avec les partenaires de l’Indopacifique. Tels sont les quatre sujets principaux sur la table des ministres alliés de la Défense, jeudi
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(B2) B2 a pu s’entretenir, en compagnie de plusieurs confrères de l’Association des journalistes de défense (AJD), avec une source de premier plan au sommet de la chaîne sécuritaire de l’Etat français. Habituellement peu bavarde,
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(B2) Pour lutter contre les Russes, quoi de mieux qu’un petit engin volant sans pilote, armé au besoin. Le drone, la mobylette de l’armée ukrainienne, aux atouts tactiques indéniables, revêt aussi un enjeu industriel majeur.
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(B2) Le nouveau secrétaire général de l’OTAN se fixe trois priorités : développer les capacités de défense et de dissuasion de l’Alliance ; soutenir l’Ukraine ; répondre aux défis de sécurité globaux. L’ancien Premier ministre
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(B2) Les restrictions à l’utilisation des armes de longue portée vont être levées. Parce que c’est la seule façon d’affaiblir durablement les capacités de frappes russes. Et ainsi d’ouvrir la voie à une négociation de
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(B2) Face aux attaques massives de la Russie contre les infrastructures de l’Ukraine, le président ukrainien a réitéré, ce vendredi (6 septembre), sur la base aérienne allemande, un triple appel. Davantage de systèmes de défense
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(B2) Le soutien militaire à l’Ukraine et les capacités de l’opération Aspides en mer Rouge ont été les principaux sujets de la réunion informelle des ministres de la Défense de l’UE. Avec un rappel de
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(B2) À l’avenir, les formations seront données au plus près des frontières ukrainiennes. Mais toujours pas à l’intérieur du pays. Les ministres de la Défense, lors de leur réunion informelle, vendredi (30 août), ont cependant
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(B2) L’objectif de fournir 500.000 munitions aux forces ukrainiennes devrait être atteint d’ici la fin de l’année. Mais des financements supplémentaires sont nécessaires pour assurer le soutien dans la durée et l’étendre à d’autres besoins.
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(B2) Le langage reste certes diplomatique. Mais les Alliés sont assez clairs sur le fond. Pékin ne peut pas continuer à alimenter la guerre en Ukraine. Il en va de ses propres intérêts et de
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(B2) Les Alliés appellent la Russie à retirer complètement et sans condition toutes ses forces d’Ukraine. Dans une déclaration qui condamne avec la plus grande fermeté « les attaques épouvantables qu’elle a commises le 8
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(B2) Le sommet de Washington devait être l’occasion d’afficher unité et détermination dans le soutien à l’Ukraine. Restait à trouver les mots pour le dire. Et c’est désormais chose faite. Avec une déclaration qui consacre
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(B2) Les alliés sont réunis à compter de ce mardi 9 juillet à Washington. Avec des priorités connues. Au premier rang desquelles, l’aide à l’Ukraine et le renforcement des capacités de défense et de dissuasion
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(B2) Le président ukrainien, présent en personne à Bruxelles, jeudi (27 juin), a formulé cinq priorités à l’adresse des chefs d’État et de gouvernement de l’Union européenne. Une nouvelle fois, il a appelé à l’unité
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(B2) Dernier jalon sur la voie vers le sommet de Washington, la réunion des ministres alliés de la Défense a entériné le principe d’une coordination par l’OTAN de l’aide militaire à l’Ukraine. Pour en assurer
Lire(B2) La coordination de l’aide militaire à l’Ukraine assurée jusqu’ici par les États-Unis va pouvoir passer sous l’égide de l’Alliance atlantique. Avec à la clef, une pérennisation, quoi qu’il arrive. À défaut d’argent frais supplémentaire,
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(B2) Faut-il franchir deux pas supplémentaires dans l’aide militaire à l’Ukraine ? En assurant des formations sur place et en l’autorisant à utiliser les armes qui lui sont fournies contre des cibles militaires sur le
Lire(B2) Les États-Unis et leurs alliés s’adaptent à la nouvelle offensive lancée par la Russie sur Kharkiv. Avec une levée des restrictions imposées aux Ukrainiens dans l’usage des armes occidentales. Mais aussi un rôle de
Lire(B2) La concentration des attaques russes sur la région de Kharkiv et l’emploi à cette fin de bases situées dans la profondeur du territoire de la Russie relancent le débat sur les restrictions d’usage imposées
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