Informal group photo of the women Defence Ministers participating in the meeting Left to right: Mimi Kodheli (Minister of Defence, Albania); Jeanine Hennis-Plasschaert (Minister of Defence, The Netherlands); Ursula von der Leyon (Minister of Defence, Germany); Ine Marie Eriksen Soreide (Minister of Defence, Norway) and Roberta Pinotti (Minister of Defence, Italy)
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La femme devient l’avenir de la défense

Mimi Kodheli (Albania), Jeanine Hennis-Plasschaert (Pays-Bas), Ursula von der Leyon (Allemagne), Ine Marie Eriksen Soreide (Norvège), Roberta Pinotti (Italie) à la réunion de février 2014 de l'Alliance atlantique (crédit : OTAN)

(B2) Avec Sylvie Goulard en France, cela devient désormais la norme en Europe. Les quatre principaux pays européens (excepté le brexiteur britannique) ont désormais une femme à la tête de leur défense nationale (pardon les armées en France) : Ursula (von der Leyen), la plus connue et la plus expérimentée, en Allemagne, Roberta (Pinotti) en Italie et María Dolores (de Cospedal) en Espagne la dernière venue.

A celles-là, il faut ajouter Jeanine (Hennis-Plasschaert) aux Pays-Bas et Ine Marie (Eriksen Søreide) en Norvège ou Mimi (Kodheli) en Albanie... sans oublier la Haute représentante de l'Union, Federica Mogherini.

Et à regarder le parcours de l'Allemande ou de la Néerlandaise qui ont la plus grande antériorité, la défense leur va comme un gant.

(NGV)

Lire aussi : Sylvie Goulard nommée aux Armées

 

Nicolas Gros-Verheyde

Directeur de la rédaction de B2. Diplômé en droit européen de l'université Paris I Pantheon Sorbonne, auditeur 65e session IHEDN (Institut des hautes études de la défense nationale. Journaliste depuis 1989. (France-Soir, La Tribune, Arte, Ouest-France, Sud-Ouest)

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