Des connecteurs de Nicomatic sont présents dans plusieurs équipements optroniques et dans le radar du Gripen du suédois Saab. (©CC/Milan Nykodym)
Boris Pistorius et Sébastien Lecornu en visite sur la base aérienne 105 d'Evreux pour la signature du HLCORD du MGCS. (©B2/Romain Mielcarek)
Les Etats-Unis sont les seuls aujourd'hui à maîtriser pleinement l'ensemble des capacités étudiées par l'IISS. (©Army Staff Sgt. Renee Seruntine, Army National Guard)
Janvier 2017 : un PTL-02 chinois de l'armée sénégalaise en attente à Karang, à la frontière avec la Gambie. (©VOA)
Si la LPM 2024-2030 apporte un budget à la hausse, certains matériels comme le Griffon de l'armée de terre sont quand même repoussés dans le temps. (©Armée de terre)
Visuel de l'ARCHANGE, avion, qui ne comblera le trou capacitaire du renseignement électromagnétique aéroporté qu'en 2025 au mieux. (©Dassault)
Atelier de Forgital, entreprise fabricant des pièces pour la défense, l'aéronautique ou encore le nucléaire. (©ECPAD)
Le système franco-italien SAMP/T de défense sol-air moyenne portée n'a été acheté par aucun autre pays européen... au contraire du Patriot américain retenu par sept membres de l'UE. (©MBDA)
Alerte déclenchée : un pilote de Rafale participe à la PPS-A et part contrôler un appareil suspect. (©Armée de l'air et de l'espace)
Un E-2C Hawkeye de la marine nationale, dont les capacités radar doivent notamment permettre de repérer et de suivre, les navires, les aéronefs et les trajectoires de missiles, à plus de 500 km. (©Marine nationale)
Le NH-90 espagnol a pu voler quotidiennement avec ses cousins les Caïman français. (©B2/Romain Mielcarek)
Un soldat ukrainien avec un lance-missile sol-air Stinger. Une arme américaine fournie par le Danemark, l'Allemagne, la Lettonie, la Lituanie et les Pays-Bas. Qui devra se charger du contrôle ? (©Armée ukrainienne)
Revue des troupes d'Emmanuel Chiva lors de la prise d'armes annuelle de la DGA, le 22 septembre 2022, à Balard. (©ECPAD)