Défense, diplomatie, crises, pouvoirs
(B2) Face aux attaques incessantes de la Russie sur les villes et les infrastructures énergétiques, l’Ukraine a un besoin urgent de systèmes antiaériens. De batteries et de missiles Patriot, répètent en boucle les Ukrainiens. Un
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(B2) Le nombre de commandes de munitions de 155 mm passé via les contrats cadres de l’agence européenne de défense progresse lentement. Le montant total de ces commandes devrait néanmoins atteindre 350 millions prochainement. Explications.
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(B2) Onze attaques ont été repoussées en mer Rouge depuis le 23 février, selon Josep Borrell. Visiblement satisfait de la performance de la dernière née des opérations maritimes de l’UE. Le Haut représentant de l’UE
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(B2) La poursuite de l’aide militaire à l’Ukraine a nourri les discussions des ministres alliés des Affaires étrangères, à moins de quatre mois du sommet de Washington. Avec un nouveau rôle donné à l’OTAN sur
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(B2) L’OTAN envisage d’assumer un rôle de coordination de l’aide militaire à l’Ukraine. Une enveloppe de 100 milliards de dollars est évoquée. Mais le flou le plus complet règne. Entre simple reconditionnement et efficacité accrue
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(B2) Appel à la BEI à changer sa politique, mandat donné à la Commission de réfléchir de nouveaux financements, approbation d’une nouvelle stratégie ‘Défense’, préparation aux crises… les 27 ont pris conscience de l’impérieuse nécessité
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(B2) Où trouver les fonds nécessaires pour doper l’industrie de défense ? C’est autour de cette question que vont plancher les chefs d’État et de gouvernement ce jeudi (21 mars). Avec un premier résultat attendu
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(B2) Rien ne sert de sauter comme un cabri en réclamant un commissaire à la défense. Il y a déjà un commissaire à l’industrie de défense, rappelle Thierry Breton, présent ce mardi (19 mars) devant
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(B2) Réunis, vendredi 15 mars à Berlin, les trois leaders du triangle de Weimar ont cherché à faire taire leurs divergences, surtout Paris et Berlin. Cet exercice se voulait une sorte de thérapie de groupe
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(B2) La Commission vient de lancer, vendredi 15 mars, son quatrième appel à propositions au titre du fonds européen de défense doté de plus de un milliard d’euros. 101 projets de recherche et développement sont déjà
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(B2) 31 projets répartis dans quinze États membres et la Norvège bénéficieront d’un soutien. Mais ce sont clairement le Norvégien Chemring Nobel et l’Allemand Rheinmetall qui se taillent la part du lion. La Commission européenne
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(B2) L’enveloppe est maigre. Faute de moyens budgétaires suffisants. Mais elle devrait tout de même permettre de soutenir au moins cinq projets d’acquisition conjointe en moins de deux ans (2024-2025). Ce qui n’est pas complètement
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(B2) La Commission européenne a pris, ce vendredi 15 mars, un ensemble de décisions concernant la mise en œuvre des règlements ASAP (soutien au développement des capacités de production de munitions) et EDIRPA (acquisitions conjointes
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(B2) Avec des dépenses de défense en croissance de 11% chez les alliés européens, un tiers des alliés qui atteignent voire dépassent le plancher de 2% du PIB fixé à Vilnius et un soutien des
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(B2) Lors du prochain Conseil européen (21 et 22 mars), les chefs d’Etat ou de gouvernement devraient endosser la nouvelle stratégie industrielle de défense, mais aussi souligner l’importance de la préparation et de la résilience
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(B2) Modernisation et coopération constituent les deux axes d’une réforme de l’armée suisse qui avance. Lentement. Un coup d’oeil intéressant au moment où les négociations pour un rapprochement institutionnel avec l’Union européenne vont reprendre. En
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(B2) L’emblème national de la Suède a été hissé, lundi 11 mars, sur le parvis du siège de l’Alliance atlantique à Bruxelles. Et simultanément dans les quartiers généraux de l’organisation. La Suède est devenue le
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(B2) Booster l’industrie de défense, consolider un marché intérieur, assurer la sécurité d’approvisionnement et amarrer l’industrie ukrainienne. Tels sont les quatre objectifs de la première stratégie industrielle de l’UE pour ce secteur indispensable à l’autonomie
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(B2) Le nouveau programme repose principalement sur trois piliers : un programme visant à soutenir la base industrielle et le développement d’un marché intérieur de la défense ; un instrument de soutien à l’Ukraine ;
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