Défense, diplomatie, crises, pouvoirs
(B2) Le nouveau secrétaire général de l’OTAN se fixe trois priorités : développer les capacités de défense et de dissuasion de l’Alliance ; soutenir l’Ukraine ; répondre aux défis de sécurité globaux. L’ancien Premier ministre
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(B2) Les alliés européens ont commencé à rattraper leur retard en matière de dépenses de défense. Avec des dépenses de défense qui augmentent deux fois plus en Europe qu’aux États-Unis. Seulement un quart des alliés
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(B2) 2,5% du PIB consacrés à la défense. C’est l’objectif que se fixe le gouvernement britannique à l’horizon 2030. Pour garder sa deuxième place au sein de l’OTAN en termes de dépenses de défense. Après
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(B2) La défense, enjeu majeur du prochain mandat. Ou la défense sinon rien ! Les appels à renforcer la défense européenne se multiplient. POLITIQUE DE DÉFENSE Plus d’Europe dans la sécurité et la défense !
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(B2) Avec des dépenses de défense en croissance de 11% chez les alliés européens, un tiers des alliés qui atteignent voire dépassent le plancher de 2% du PIB fixé à Vilnius et un soutien des
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(B2) L’Ukraine et l’aide militaire à lui apporter étaient, une fois encore, au cœur des discussions des ministres alliés de la Défense. Avec la création d’un centre conjoint de formation OTAN-Ukraine et de nouvelles coalitions
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(B2) Malgré les apparences, l’Alliance apparait un peu ébranlée par les derniers mots de Trump. L’absence du ministre américain, pour raison de santé, malencontreux hasard, renforce cette symbolique. Chacun craint le désengagement américain. D’où une
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(B2) Les dépenses de défense des 29 alliés européens devraient avoisiner 380 milliards de dollars US en 2024, selon Jens Stoltenberg. Le secrétaire général de l’OTAN s’exprimait, mercredi 14 février, juste avant une réunion du
Lire(B2) À l’étroit entre des négociations complexes sur l’élargissement et la révision du cadre financier pluriannuel et des discussions tendues sur la situation au Proche-Orient, la sécurité et la défense ont été d’autant plus facilement
Lire(B2 – exclusif) Le sujet défense et sécurité a été mis à l’ordre du jour du Conseil européen des 14 et 15 décembre. Une manière de pousser les feux et d’accélérer les travaux en cours.
Lire(B2) La réunion des ministres des Affaires étrangères de l’Alliance atlantique va entamer la préparation du prochain sommet à Washington. Mais aussi traiter des questions cruciales du jour : Ukraine, Balkans et Proche-Orient. La ministérielle
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(B2 – exclusif) Après les contrats cadres pour les munitions, le directeur exécutif de l’agence européenne de défense (EDA), Jiří Šedivý, envisage davantage de travail à l’avenir dans les acquisitions conjointes. B2 l’a rencontré au
Lire(B2) Même s’il note des progrès dans certains domaines, le Conseil reconnaît qu’il y a encore bien du chemin à faire pour que la coopération structurée permanente produise véritablement ses effets. Une revue stratégique est
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(B2) Non content de bouder le sommet européen, le leader hongrois s’est affiché ostensiblement serrant chaleureusement la main de Vladimir Poutine et parlant coopération gaz et pétrole, toutes denrées normalement sous embargo. Un écart avec
Lire(B2) La réforme de la gouvernance économique en cours au niveau européen pourrait déboucher sur une prise en compte plus concrète des dépenses nationales de défense. Du moins c’est la proposition de la présidence espagnole
Lire(B2) Avec des dépenses prévisionnelles de 71 milliards € en 2024, l’Allemagne aura le plus gros budget de défense en Europe et le second des Alliés, très loin derrière les États-Unis. Mais la promesse d’atteindre,
Lire(B2) Un sommet de l’OTAN obéit à un ballet particulièrement compliqué. Car aux différentes sessions entre chefs s’ajoutent des réunions ministérielles des Affaires étrangères et de la Défense. Vilnius n’échappera pas à cette chorégraphie. Avec
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(B2) Sans surprise, la guerre en Ukraine ainsi que la préparation du sommet de Vilnius ont dominé l’agenda des ministres de la Défense des Alliés les 15 et 16 juin. Avec une confirmation : la
Lire(B2) Cette fois plus d’excuses possibles. Le budget est bien là. Les possibilités de coopérer aussi. Or le niveau de coopération reste faible entre États membres. Il manque plus que la volonté politique. Les principaux
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