Défense, diplomatie, crises, pouvoirs
(B2) La diplomatie du chéquier est-elle suffisante et viable. Une partie du Parlement européen dénonce l’accord passé avec la Tunisie. Sans réelle conditionnalité. Avec un autre accord signé avec l’Égypte dans quelques jours, le sujet
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(B2) Le programme d’investissement dans la défense (EDIP) et la stratégie qui l’accompagne, présentés ce mardi par la Commission européenne, sont un jalon posé pour le prochain mandat du Parlement européen comme de la Commission.
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(B2) Ce que redoutaient certains est en passe d’advenir, avec la demande de protection faite à la Russie par la région sécessionniste de Transnistrie, en Moldavie. Un jeu dangereux à trois bandes, si cela se
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(B2) Les déclarations bravaches de Donald Trump, irritent plus qu’elles n’inquiètent, tout en redonnant de la vigueur aux ardeurs d’unité des alliés. La campagne américaine ne fait que commencer. Et le candidat républicain a bien
Lire(B2) Il y a presque un an, les 27 convenaient qu’il fallait rétablir le poste de représentant spécial de l’UE pour la région des Grands Lacs. Un an plus tard, rien ne vient. La Belgique
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(B2) Les frappes de rétorsion engagées par les Américains et Britanniques contre les Houthis yéménites divisent. Les Alliés comme les Européens hésitent sur la stratégie à adopter. Dans nombre de têtes émerge le risque d’une
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(B2) Les attaques répétées des Houthis sur les pétroliers et autres navires marchands en mer Rouge ouvrent un nouveau front au Proche Orient. Maritime celui-là. Avec une volonté de certains Européens d’affirmer leur autonomie d’action
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(B2) La marche vers un marché industriel de la défense plus intégré n’a rien d’un long chemin tranquille. Les consultations en cours donneront le ton des étapes qui pourront être franchies, ou pas, début 2024
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(B2) Un nouveau foyer de tension est apparu en cette fin d’année en mer Rouge. Les attaques des Houthis sont désormais quotidiennes. Les grands armateurs désertent la zone. L’appel d’Emmanuel Macron et de Josep Borrell
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(B2) Plusieurs réunions de haut niveau. Des sujets clés pour l’avenir de l’UE. Sur lesquels flottent de fortes incertitudes, comme le soutien de l’UE à l’Ukraine. Cette semaine est classée « rouge » sur l’agenda
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(B2) Le renforcement de la défense du Japon intéresse les Européens. Pas sûr qu’ils y tirent leur épingle du jeu comme l’illustre un reportage de B2 sur place. Intéressant à quelques mois du sommet de Washington de l’OTAN
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(B2) La responsabilité de l’UE en matière de droits fondamentaux dans le contexte des missions de la PSDC était jusqu’à présent un trou noir de la politique européenne. Le tribunal de l’UE se reconnaissait régulièrement
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(B2) La visite médiatisée d’Ursula von der Leyen à Kiev ce week-end, pointe, au-delà du soutien réaffirmé face à l’agression russe, la voie européenne que la Commission entend ouvrir pour l’Ukraine ce mercredi. Une nécessité
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(B2) Non content de bouder le sommet européen, le leader hongrois s’est affiché ostensiblement serrant chaleureusement la main de Vladimir Poutine et parlant coopération gaz et pétrole, toutes denrées normalement sous embargo. Un écart avec
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(B2) Le limogeage du ministre ukrainien de la Défense, présent depuis le début de la guerre, est un signe. Aux Ukrainiens que le pouvoir ne faiblit pas face aux profiteurs de l’arrière. Aux Européens et
Lire(B2) Le Conseil a décidé d’imposer des sanctions à sept membres de groupes armés sévissant dans l’Est ou le Nord-Est de la RD Congo. Mais aussi à deux militaires, l’un des FARDC, l’autre des forces
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(B2) En Ukraine, l’intervention militaire de la Russie ne laisse aucun répit pour le deuxième été consécutif. Mais les tensions restent vives ailleurs, notamment en Afrique. Le coup d’État militaire à Niamey est ainsi une
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(B2) La discussion commence sur les garanties de sécurité comme l’effort financier pour l’Ukraine. La création d’un fonds militaire spécifique à l’intérieur de la Facilité européenne pour la paix (intergouvernemental) et une nouvelle Facilité (civile),
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(B2) À la veille de la pause estivale, la nomination d’une Américaine comme Chief Economist à la DG Concurrence, sème le trouble à Bruxelles. Au point que la Commission européenne doit s’en expliquer aussi bien
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