Défense, diplomatie, crises, pouvoirs
(B2) Engagement durable à soutenir l’Ukraine, coordination de l’aide militaire, Ukraine Compact… La moisson a été fructueuse pour Volodymyr Zelensky à Washington. Eclipsant les autres sujets à l’agenda : défense et dissuasion de l’Alliance, développement
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(B2) De nombreux pays ont profité du sommet de l’OTAN à Washington, du 9 au 11 juillet, pour signer divers engagements, lettres d’intention et autres memoranda pour le développement en commun de nouvelles capacités militaires,
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(B2) À Washington, les Alliés ont approuvé un engagement à accélérer la montée en puissance de leurs capacités de production d’armement. Un engagement essentiellement de principe. Même si un suivi partiel des progrès par les
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(B2) Le langage reste certes diplomatique. Mais les Alliés sont assez clairs sur le fond. Pékin ne peut pas continuer à alimenter la guerre en Ukraine. Il en va de ses propres intérêts et de
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(B2) Les Alliés appellent la Russie à retirer complètement et sans condition toutes ses forces d’Ukraine. Dans une déclaration qui condamne avec la plus grande fermeté « les attaques épouvantables qu’elle a commises le 8
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(B2) Le sommet de Washington devait être l’occasion d’afficher unité et détermination dans le soutien à l’Ukraine. Restait à trouver les mots pour le dire. Et c’est désormais chose faite. Avec une déclaration qui consacre
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(B2) Les alliés sont réunis à compter de ce mardi 9 juillet à Washington. Avec des priorités connues. Au premier rang desquelles, l’aide à l’Ukraine et le renforcement des capacités de défense et de dissuasion
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(B2) Dans les formats Weimar, la défense n’est pas une rencontre très plébiscitée. Le Polonais Władysław Kosiniak-Kamysz, l’Allemand Boris Pistorius et le Français Sébastien Lecornu ont souhaité lui redonner une chance, lors d’une rencontre de
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(B2) Le Néerlandais Mark Rutte prendra ses fonctions de secrétaire général de l’OTAN le 1er octobre. Succédant à Jens Stoltenberg, qui aura passé dix ans à la tête de l’organisation. La décision était attendue de façon
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(B2) L’amiral Vandier succédera au général Philippe Lavigne, lors d’une cérémonie de passation de commandement qui se déroulera au quartier général du commandant suprême allié Transformation, à Norfolk, en Virginie (États-Unis), en septembre 2024. Actuel
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(B2) Les derniers obstacles à la nomination de Mark Rutte comme prochain secrétaire général de l’OTAN semblent levés. Ou presque. Reste maintenant à constater le consensus des Alliés, lors d’une réunion des ambassadeurs dans les
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(B2) Les alliés européens ont commencé à rattraper leur retard en matière de dépenses de défense. Avec des dépenses de défense qui augmentent deux fois plus en Europe qu’aux États-Unis. Seulement un quart des alliés
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(B2) Dernier jalon sur la voie vers le sommet de Washington, la réunion des ministres alliés de la Défense a entériné le principe d’une coordination par l’OTAN de l’aide militaire à l’Ukraine. Pour en assurer
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(B2) La pérennisation du soutien à l’Ukraine et la consolidation des plans de défense de l’OTAN domineront la réunion des ministres alliés de la Défense, ces jeudi 13 et vendredi 14 juin, dans la dernière
Lire(B2) La coordination de l’aide militaire à l’Ukraine assurée jusqu’ici par les États-Unis va pouvoir passer sous l’égide de l’Alliance atlantique. Avec à la clef, une pérennisation, quoi qu’il arrive. À défaut d’argent frais supplémentaire,
Lire(B2) Les États-Unis et leurs alliés s’adaptent à la nouvelle offensive lancée par la Russie sur Kharkiv. Avec une levée des restrictions imposées aux Ukrainiens dans l’usage des armes occidentales. Mais aussi un rôle de
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(B2) 2,5% du PIB consacrés à la défense. C’est l’objectif que se fixe le gouvernement britannique à l’horizon 2030. Pour garder sa deuxième place au sein de l’OTAN en termes de dépenses de défense. Après
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(B2) La poursuite de l’aide militaire à l’Ukraine a nourri les discussions des ministres alliés des Affaires étrangères, à moins de quatre mois du sommet de Washington. Avec un nouveau rôle donné à l’OTAN sur
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(B2) L’OTAN envisage d’assumer un rôle de coordination de l’aide militaire à l’Ukraine. Une enveloppe de 100 milliards de dollars est évoquée. Mais le flou le plus complet règne. Entre simple reconditionnement et efficacité accrue
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