Défense, diplomatie, crises, pouvoirs
(B2) Le Conseil européen a désigné les principaux responsables qui dirigeront l’Union européenne à partir de la fin de l’année. Le leader hongrois, Viktor Orbán, vitupérant contre le diktat chrétien-démocrate-socialiste-libéral. Et l’Italienne s’y opposant vertement.
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(B2) Le Portugais avait été parmi les premiers noms cités pour succéder à Charles Michel à la tête du Conseil européen en fin d’année. Savoir rebondir en politique est une qualité pour qui veut durer.
Lire(B2) Les négociateurs des trois « principales familles politiques européennes », Kyriákos Mitsotákis et Donald pour le PPE, Pedro Sánchez et Pedro Sánchez pour les S&D, Emmanuel Macron et Mark Rutte pour Renew, réunis par
Lire(B2) Les 27 doivent se mettre d’accord sur un agenda stratégique sensé guider la politique de la Commission européenne pour les cinq années à venir. Un document brumeux et fort peu concret. Ce document de
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(B2) Réunis de façon informelle, les 27 chefs d’État et de gouvernement n’ont pas réussi, lundi 17 juin, à se mettre d’accord sur les trois personnalités à choisir pour les principaux postes européens. Prochain rendez-vous,
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(B2) Plusieurs semaines intenses s’annoncent d’ici au mardi 16 juillet, jour d’ouverture de la session constitutive, à Strasbourg, au cours de laquelle seront élus les membres du bureau (président/e, vice-présidents, questeurs), mais aussi publiées les
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(B2) La Première ministre estonienne, Kaja Kallas, pourrait bien être la future Haute représentante de l’UE pour la politique étrangère. Atouts, qualités et défis… Ce serait la troisième fois que ce poste serait occupé par
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(B2) Au fil de la nuit, les chrétiens-démocrates du PPE renforcent leur première place au Parlement. La percée à droite des groupes ECR et ID, l’autre donnée phare de la soirée électorale dimanche 9 juin,
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(B2) Les percées sont aux extrêmes de la droite : avec des souverainistes ECR en force et des nationalistes anti-immigration ID en tête dans plusieurs pays. Dont la France. Avec une première conséquence : l’annonce
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(B2) Les élections restent toujours marquées par un contexte national. Où chacun joue d’abord une partition propre avant de jouer le jeu européen. Mémo utile pour suivre les résultats dimanche soir. Nous avons choisi de
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(B2) À quelques jours de l’ouverture des premiers bureaux de vote, aux Pays-Bas, ce jeudi (6 juin), les derniers sondages prévoient un Parlement européen recomposé à droite. Les tendances observées en septembre dernier se confirment.
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(B2) Parmi les 27 membres du club dirigeant de l’Union européenne, l’équilibre politique continue d’évoluer vers la droite. Quelles sont les évolutions du cycle 2019-2024 qui s’achève ? La couleur politique du Conseil européen joue
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(B2) Une bonne quinzaine de pays ont déjà un candidat semi-officiel ou publiquement revendiqué. Pour les autres, c’est plus flou. Et même s’il existe une prime à la continuité, la Commission 2024 sera largement remaniée
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(B2) L’exercice rituel et attendu du débat entre les Spitzenkandidat se solde, jeudi 23 mai, par un tous contre Von der Leyen. Le commissaire européen N. Schmit n’étant pas le moins virulent ! Pour la
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(B2) L’enchaînement d’évènements internationaux violents (invasion de l’Ukraine par la Russie, attaque du Hamas en Israël suivie du blocus de Gaza, etc.), d’épisodes inédits (l’épidémie de Covid) en aurait presque fait oublié qu’au début du
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(B2) Les commentaires apportés par le président du comité militaire sur un site révisionniste autrichien, suscitent l’interrogation du côté du Haut représentant de l’UE. Une procédure interne est en cours. Des commentaires sur un site
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(B2) La présidente de la sous-commission Sécurité et Défense ne cache pas son intention de conserver son poste dans la nouvelle assemblée. Et si possible à la tête d’une commission de plein exercice, pour instruire
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(B2) Ce lundi 22 avril, les députés européens se retrouvent à Strasbourg pour leur dernière plénière de la législature. Jeudi 25, à 15 heures, quelques uns partiront en vacances et une majorité en campagne. La
Lire(B2) Le dossier était mal parti. Certains gageaient d’ailleurs dès février qu’il n’aboutirait pas. Un dernier sursaut a fait craindre, ce mercredi 17 avril, que la discussion soit abandonnée. Mais non ! Tout reste encore
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