La conférence de Palerme en 2018, une des rares occasions où les différents protagonistes de la crise libyenne étaient présents (crédit : Commission européenne - Archives B2 - Novembre 2018)
(de gauche à droite) La Ministre suédoise des affaires étrangères, Margot Wallström, le Ministre yéménite des affaires étrangères, Khaled Al Yamani, le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, et le chef de la délégation d’Ansar Allah, Mohammed Abdel Salam. (Crédit : Suède)
Des déplacés tentent de récupérer quelques biens dans le camp d'Alindao, totalement détruit par un incendie, le 15 novembre (Crédit : OCHA)
Jean-Claude Juncker (C avec le président chypriote Anastasiadis (à sa droite) et le président de Chypre Nord Akinci (gauche) (crédit : CE, juillet 2015)
L'accord initial signé par les Libyens sous l'égide de Bernardino Leon, envoyé spécial de l'ONU (crédit : ONU)
Le rapport évaluant les « défis en matière de sécurité au Moyen-Orient et en Afrique du Nord » a été voté par fort consensus : 400 votes pour, 98 votes contre et 55 abstentions (Crédits: PE)